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Ce qui est drôle, c'est que en cherchant tes voitures on tombe sur des trucs intéressants: La prochaine est pour moi et o verra si tu trouve facilement
En fait la Bricklin SV1 partage avec la DeLorean ses portes papillons et son parfum de scandale.
Bricklin avait fait fortune en escroquant des franchisés pour son enseigne de bricolage. Puis en anarquant Subaru, apres avoir vendu 10 000 Subaru 360 a prix cassé sur le sol américain.
La suite n'est guere plus brillante, , quand il imagine de créer la Bricklin SV1, il la veut revolutionnaire, SV signifiant safety vehicle et l'avant bizzare n'est autre qu'un parechoc retractable.
Donc pour concevoir cette voiture revolutionnaire il fait appel à Russ Meyer (oui oui vous avez bien lu, le realisateur de film érotique, spécialiste lui aussi d'un autre genre de parechoc) c'est dire le serieux du projet.
Puis plus sérieusement à Marshall Hobart. La firme est financée par l’emprunt que Bricklin garantit grâce à des valeurs fictives. On reconnaît en lui le filou du début. Pourtant, l’argent vient à manquer, et c’est vers le Canada, et l’état du Nouveau Brunswick qu’il va se tourner. En pleine période électorale, le chef du gouvernement Richard Hatfield y voit un bon moyen de redorer son blason dans la lutte contre le chômage.
Et c'est donc tout naturellement que l'etat lui avancera 4.5 millions de dollars de l'epoque, lui garantira un pret de 12 millions et l'etat canadien himself rallongera de 3 millions. Et l'etat du Nouveau Brunswick sera actionnaire de 67 % du capital. On est en 71.
En 74 la voiture n'est toujours pas prete, ni au point. Les politiques s'impatientent, et la voiture est presenté en catastrophe à la presse.
Puis les premiers modeles seront livrés, pas fiables malgré des améliorations et un changement de moteur, la société sera déclaré en faillite dés 76, en laissant une ardoise de 40 millions de dollars.
Mais rappelez vous, c'est le Nouveau Brunswik l'actionnaire majoritaire, et c'est lui qui raquera.
On retrouvera Bricklin, toujours dans l'automobile, plutard, tentant d'importer des Fiat spider et bertone et puis des yugo sur le sol aéricain.
Mais ca c'est une autre histoire !!!
Je suis née dans un pays de grand espace. L'automobile n'y tient pas une place majeure, pourtant c'est ici qu'est né un des plus grand pilote de tout les temps.
Avec mon coeur de "fonte" et ma ligne sportive j'avais de quoi faire tournée les tetes, aux cotés de mes soeurs, destinées, elles, à la compétition.
Malgré mon exotisme, je fis sensation au salon de l'auto, a paris en 75.
@Stf1900 oui les grands espaces de l'argentine, la pampa et les elevages d'Angus a perte de vue. (d'ailleur petite paranthese, je te conseille de gouter le boeuf argentin, c'est un delice)
Réponses
J'avais aussi commencé avec la Yougoslavie puis en habitant en Allemagne j'ai recherché dans la DDR
Mon moteur est d'origine modeste.
Me voici dans ma generation II puis III
Pour la petite histoire Sonett, est une abréviation du suédois « så nätt den är » : qu’elle est belle !!!
Attention la photo est un modèle qui n'est pas d'origine ...
Bonne nuit
Et le fait que tu vive là-bas non?
C'est pour cela que j'avais mis une photo de voiture tuné
Bricklin avait fait fortune en escroquant des franchisés pour son enseigne de bricolage. Puis en anarquant Subaru, apres avoir vendu 10 000 Subaru 360 a prix cassé sur le sol américain.
La suite n'est guere plus brillante, , quand il imagine de créer la Bricklin SV1, il la veut revolutionnaire, SV signifiant safety vehicle et l'avant bizzare n'est autre qu'un parechoc retractable.
Donc pour concevoir cette voiture revolutionnaire il fait appel à Russ Meyer (oui oui vous avez bien lu, le realisateur de film érotique, spécialiste lui aussi d'un autre genre de parechoc) c'est dire le serieux du projet.
Puis plus sérieusement à Marshall Hobart. La firme est financée par l’emprunt que Bricklin garantit grâce à des valeurs fictives. On reconnaît en lui le filou du début. Pourtant, l’argent vient à manquer, et c’est vers le Canada, et l’état du Nouveau Brunswick qu’il va se tourner. En pleine période électorale, le chef du gouvernement Richard Hatfield y voit un bon moyen de redorer son blason dans la lutte contre le chômage.
Et c'est donc tout naturellement que l'etat lui avancera 4.5 millions de dollars de l'epoque, lui garantira un pret de 12 millions et l'etat canadien himself rallongera de 3 millions. Et l'etat du Nouveau Brunswick sera actionnaire de 67 % du capital. On est en 71.
En 74 la voiture n'est toujours pas prete, ni au point. Les politiques s'impatientent, et la voiture est presenté en catastrophe à la presse.
Puis les premiers modeles seront livrés, pas fiables malgré des améliorations et un changement de moteur, la société sera déclaré en faillite dés 76, en laissant une ardoise de 40 millions de dollars.
Mais rappelez vous, c'est le Nouveau Brunswik l'actionnaire majoritaire, et c'est lui qui raquera.
On retrouvera Bricklin, toujours dans l'automobile, plutard, tentant d'importer des Fiat spider et bertone et puis des yugo sur le sol aéricain.
Mais ca c'est une autre histoire !!!
Je suis née dans un pays de grand espace. L'automobile n'y tient pas une place majeure, pourtant c'est ici qu'est né un des plus grand pilote de tout les temps.
Avec mon coeur de "fonte" et ma ligne sportive j'avais de quoi faire tournée les tetes, aux cotés de mes soeurs, destinées, elles, à la compétition.
Malgré mon exotisme, je fis sensation au salon de l'auto, a paris en 75.
@Stf1900 oui les grands espaces de l'argentine, la pampa et les elevages d'Angus a perte de vue. (d'ailleur petite paranthese, je te conseille de gouter le boeuf argentin, c'est un delice)
Les indices sur le moteur et le pays m'ont bien aidé.
bravo @Stf1900